Je l'ai fait attendre un peu mais bon, il faut ce qu'il faut. Je rentre chez elle, elle a laissé la porte ouverte à ma demande. Je rentre dans le salon. Elle est devant la fenêtre, volets baissés, à genoux reins creusés, un petit pompon blanc dans le cul.Je sais qu'elle n'était pas vraiment ravie de devoir se l'enfoncer elle-même, jusque là j'excitais sa petite moule juteuse avant de lui enfiler un plug ou tout autre objet dans l'anus. Mais cette fois, je voulais qu'elle passe un cap. Elle l'a fait et j'en suis ravi.

• Eh bien, tu n'es pas contente de me voir?

Elle tortille son petit pompon. J'ouvre le bouton et la braguette de mon pantalon.

• Regarde donc l'effet que tu me fais. Viens donc m'accueillir!

Elle se déhanche à quatre pattes jusqu'à moi sourire aux lèvres. je sais que de voir mon membre dur excité par la vision qu'elle vient de m'offrir récompense l'effort qu'elle a dû fournir pour se l'enfiler. Elle m'embrasse le pied, me lèche les corones, remonte la hampe de mon sexe pour l'enfourner entièrement. Elle l'engloutit entièrement, quasiment jusqu'à la base. Elle me suce avidement jusqu'à ce que je jouisse dans sa petite gueule d'amour. Elle avale tout sans rechigner. Décidément aujourd'hui elle a décidé de me surprendre dans le bon sens du terme.

• Tu as aimé petite salope? Masturbe toi.

Elle se doigte aussitôt, déjà terriblement trempée, à mes pieds. Je me penche en avant, je saisis le pompon à pleine main et le secoue dans tous les sens. Elle gémit, bouche ouverte. Elle s'active dans la chatte, se branle fort. je retire le pompon. J'introduits deux doigts dans la bouche et par une pression sur le palais l'oblige à basculer la tête en arrière.

Elle sait ce que je veux. Elle creuse un peu plus les reins. Deux de mes doigts investissent son anus. Je sens ses doigts à elle à travers la paroi de son vagin. A mon tour de m'activer dans son cul. Mon majeur et mon index branlent fort son trou de balle. Ses trois orifices comblés par tous ces doigts, elle divague dans un orgasme.

• Merci Monsieur.

Je lui montre d'un mouvement de tête le petit pompon. Elle le ramasse et le renfile aussi sec.

• J'ai soif et j'ai envie de fumer.

• Je vais chercher ce qu'il vous faut.

Elle se relève, se démène pour garder la petite queue blanche tout en se dirigeant vers la cuisine.Je m assois dans son canapé. Elle revient avec un verre de wiski, un cendrier et un paquet de cigarettes que j ai oublié. Il faut dire que l on passe de plus en plus de temps ensemble, pour nos petits jeux mais pas que... Elle s agenouille à mes pieds, me glisse la cigarette à la bouche, l allume.

• Avant vous, jamais un homme n a jamais autant cherché à me procurer du plaisir.

• Et alors, ca te dérange? Tu sais ca peut changer...

• Non ce n est pas ce que je voulais dire. Mais c est bizarre que ce soit un homme à qui je laisse tout pouvoir sur moi qui se préoccupe autant a me faire jouir. Alors que les autres se concentraient bien plus d eux.

• Un sacré paradoxe, n est ce pas?

• En effet. Et puis vous ne m avez quasiment jamais baisèe.

• Je ne sais pas ce qu'il te faut.Dis-je en riant.

• Je voulais dire, avec votre queue.

• Je te l ai déjà expliqué, ma queue doit être méritée.

• Je m applique pourtant...

• Je le sais et c est très bien. Tu as fait de grandes avancées. Rassure toi je l ai remarqué.

• Vous n avez jamais envie de me prendre juste pour vous...

• C est ce qui me différencie de toi. Je suis capable de me refreiner même quand je suis très excité. C est pour cela que je suis dominant et toi soumise. Je termine ma cigarette. Je l'écrase au fond du cendrier et me lève:

• Mais puisque ça te travaille! Je l attrape par les cheveux et la tire vers le canapé. Je lui plonge la tête sur les coussins et lui enfonce ma queue jusqu'à la garde d un coup sec. Elle crie. Je la besogne a grands coups de queue au fond de son con.Je la défouraille en profondeur. A chaque coups de butoirs elle gueule un peu plus fort. Je continue sans m en préoccuper. En fait elle exulte.Le pompon s est fait la malle. Tant mieux. Je ressors et pousse ma queue dans son cul. Lentement mais le passage était déjà éclairé par le plug. Son oignon s ouvre. Bien empalé dans son petit trou, je me retire légèrement pour l empaler à nouveau. Apres quelques allers et venus dans cet étroit fourreau, je m y sens plus a l aise. Je me décide a lui exploser le cul a grands coups de bites.

Elle se remet a beugler. Elle pousse ses fesses en arrière pour venir a ma rencontre. Ca m excite d autant plus. Je m agrippe a ses hanches et m y enfonce une dernière fois, bien au fond, pour jouir, tous les muscles tendus.Elle me rejoint.Cet assaut sauvage a eu raison d elle. Je ne m y attendais pas.Elle a obtenu de moi ce qu'elle voulait. Elle va devoir le payer.J approche mon chibre sous son nez.

• Nettoie sale chienne!

Elle agite sa tête de droite à gauche.

• Nettoie ou je te fais payer ton affront.

Sa langue sort, elle lèche par petits coups.

• Tu crois que tu vas t en tirer a si bon compte. Sens ce que tu m as fait faire!

Je lui colle sa figure contre mon sexe relâché.

• Lèche comme la sale chienne que tu es!

Elle se soumet et attaque le membre à grands coups de langues.

• Et que ca te serve de leçons.

• Oui Monsieur.

• Et tant que tu y es, fais le tour du periph avec! - Quoi?

• Ne discute pas.

Sa langue bifurque. C est qu'elle se débrouille plutôt bien la petite. Je commence a chauffer et suinter. De temps en temps Je bouge mes fesses, son petit bout de muscle rose se perd dans mon cyclone. Elle y ressort instantanément. Je sais que ca la dégoûte, ca lui fera les pieds. Une fois bien clean. Je me rassois pour une nouvelle clope.

• Monsieur?

• Que me veux tu?

• Me permettez-vous de me rincer la bouche?

• Vas y.

L eau coule de l'évier. Moins d une minute après elle s agenouille a mes côtés:

• Veuillez pardonner ma faute, Monsieur. - Ah tout de même. - Et merci. - Pourquoi donc? - De m avoir fait l honneur de votre queue.

• C est à tes efforts constants que tu le dois.Mais je sens qu'elle souhaite autre chose. - Qu'as tu? - En fait... Ca me gêne un peu de vous demander cela...

• Arrête de tourner autour du pot. - Il y a une soirée dans laquelle je suis invitée et... - Ce sont des amis à toi? - Oui. - Et? - Vous... Accepteriez de m accompagner.

• Je ne sais pas. Pourquoi tu me demandes cela, à moi? - Parce-que j aime la relation que je partage avec vous. Et vous faites partie de ma vie maintenant.

• Mmmh... Tu te rends compte de ce que cela va impliquer?

• Je crois.

• Alors Ok.